Le divorce par consentement mutuel peut être pratiqué soit sous la forme d’une convention homologuée par le Juge aux Affaires Familiales, soit sous la forme d’un divorce par acte d’avocat.
Le divorce est un moment difficile, et les bons choix doivent être faits au bon moment.
Cette forme de divorce soulève différentes questions qui justifient l’assistance d’un avocat : requête introductive d’instance, ordonnance de non conciliation, mesures provisoires, devoir de secours et pension alimentaire, attribution du domicile conjugal.
Le divorce est un moment difficile, et les bons choix doivent être faits au bon moment.
Cette forme de divorce soulève différentes questions qui justifient l’assistance d’un avocat : requête introductive d’instance, ordonnance de non conciliation, mesures provisoires, devoir de secours et pension alimentaire, attribution du domicile conjugal.
Le divorce est un moment difficile, et les bons choix doivent être faits au bon moment.
Cette forme de divorce soulève différentes questions qui justifient l’assistance d’un avocat : requête introductive d’instance, ordonnance de non conciliation, mesures provisoires, devoir de secours et pension alimentaire, attribution du domicile conjugal.
Saisi par requête ou par requête conjointe, le Juge aux Affaires Familiales peut homologuer (c’est-à-dire donner force de jugement) à un accord conclu entre les parents séparés d’un enfant mineur. Cet accord porte sur la garde de l’enfant (droit de visite et d’hébergement) et sur une éventuelle pension alimentaire.
Les parents ou les grands-parents peuvent solliciter en Justice un droit de visite et d’hébergement sur l’enfant mineur. Cette procédure, délicate, voit l’avocat venir au soutien des intérêts des parties.
Si vous vous posez des questions sur la prise en charge de votre dossier, vous pouvez consulter la page dédiées aux questions fréquentes.
Sinon, n’hésitez pas à prendre contact avec Maître HÉCART.